Poleg tedaj 17-letne Romy je v trilogiji o cesarici Sissi nastopila tudi njena mati Magda Schneider. Foto: MMC RTV SLO. S temi besedami je francoski igralec Alain Delon na predstavitvi novoizdane knjige Romy Schneider - "Delon-Romy. Ils se sont tant aimes " (Tako zelo sta se ljubila) opisal svojo veliko ljubezen, ki je po razdoru razmerja z
La mort tragique de son fils a eu raison de l'envie de vivre de Romy Schneider. Dix mois après David, en 1982, l'actrice est décédée à seulement 43 ans. Quelques heures après son décès, Alain Delon était auprès de sa dépouille, à coucher son émotion sur le papier. Leur romance n'a duré que cinq ans, mais leur histoire d'amour s'est écrite jusqu'à la mort tragique de l'actrice, en 1982... Ce 23 septembre 2020, Romy Schneider aurait fêté ses 82 ans et son fiancé de toujours, Alain Delon, pense à elle. "Une étoile ne s'éteint jamais. On va t'aimer toujours. Merci", a confié aujourd'hui le comédien à l'AFP. En apprenant sa mort il y a trente-huit ans, c'était déjà par écrit que le Guépard avait exprimé sa tristesse, quelques heures seulement après le drame. Romy Schneider, de son vrai nom Rose-Marie Albach-Retty, n'avait que 43 ans lorsqu'elle a trouvé la mort chez elle, dans le 7e arrondissement de Paris. C'est son compagnon d'alors, le producteur Laurent Pétin, qui avait fait la macabre découverte. Les causes du décès de l'actrice allemande naturalisée française n'ont jamais été établies, bien que la piste d'un suicide ou d'un accident lié à la prise d'alcool et de médicaments ait été largement évoquée. Arrivé sur place peu de temps après que son coeur avait cessé de battre, Alain Delon s'est longuement recueilli devant le corps de celle qu'il a aimée passionnément, après leur rencontre sur le tournage du film Christine, en 1958 et ce, jusqu'à la douloureuse rupture de leurs fiançailles en 1963. "Je te regarde dormir. Je suis auprès de toi, à ton chevet. Tu es vêtue d'une longue tunique noire et rouge, brodée sur le corsage. Ce sont des fleurs, je crois, mais je ne les regarde pas", a d'abord écrit l'acteur, dans une ultime lettre d'amour publiée par Paris Match quelques jours plus tard et qu'il garderait avec lui depuis. Je te dis adieu, le plus long des adieux, ma Puppelé. C'est comme ça que je t'appelais. Ça voulait dire 'petite poupée', en allemand. Je ne regarde pas les fleurs, mais ton visage, et je pense que tu es belle, et que jamais peut-être tu n'as été aussi belle. Je pense aussi que c'est la première fois de ma vie – et de la tienne – que je te vois sereine et apaisée." Tu es ma soeur, je suis ton frère Alain Delon poursuit alors : "Ils disent que tu étais un mythe (...). Il rentre chez lui, le mythe, le soir. Alors il n'est que Romy, rien qu'une femme, avec une vie mal comprise, mal reçue, mal écrite dans les journaux, assaillie et traquée. Alors, il s'use, le mythe, dans sa solitude. Il s'angoisse. Et plus il est conscient, et plus il tombe, à doses plus ou moins répétées, dans les béatitudes de l'alcool et du tranquillisant. Ça devient habitude, puis règle, puis nécessité. Puis c'est irremplaçable et le coeur, usé, s'arrête parce qu'il est trop las de battre (...). On dit que le désespoir que t'a causé la mort de David [son fils, en 1981, NDLR] t'a tuée. Non, ils se trompent. Il ne t'a pas tuée. Il t'a achevée." Plus loin, dans cette longue missive à vif, il écrit : "Hier encore tu étais vivante. C'était la nuit. Tu as dit à Laurent, comme vous rentriez à la maison : 'Va te coucher. Je te rejoindrai tout à l'heure. Moi, je reste un peu avec David en écoutant de la musique.' Tu disais cela chaque soir..." Le Samouraï évoque également leur douloureuse rupture en 1963, puis leur tendre amitié : "Notre vie, qui ne regarde personne, nous a séparés. Mais nous nous appelions. Souvent. Oui, c'est exactement ça : nous nous lancions des 'appels'. Ensuite, en 1968, ce fut La Piscine. Nous nous sommes retrouvés, pour travailler (...). Après notre film, tu es ma soeur, je suis ton frère. Tout est pur et clair entre nous." Finalement, le père d'Anthony Delon, Anouchka et Alain-Fabien conclut sa lettre sur les obsèques à venir, organisées le 2 juin 1982 à Boissy-sans-Avoir, dans les Yvelines. "Dans quelques jours, ton fils, David, viendra te rejoindre. Dans un petit village où tu venais de recevoir les clés d'une maison. Là, tu voulais vivre, près de Laurent, près de Sarah [Biasini], ta fille. Là, tu vas dormir pour toujours. En France. Près de nous, près de moi. Je me suis occupé de ton départ à Boissy, pour soulager Laurent et ta famille. Mais je n'irai ni à l'église ni au cimetière (...). Pardonne-moi. J'irai te voir, le lendemain, et nous serons seuls (...). Repose-toi. Je suis là. J'ai appris un peu d'allemand, près de toi. 'Ich liebe dich.' Je t'aime. Je t'aime, ma Puppelé.'"
03-may-2017 - Explora el tablero de gabriela "Alain Delon y Romy schneider" en Pinterest. Ver más ideas sobre romy schneider, actrices, actores. société 4 min tous publicsréalisé par : Lucie Cariès Elle n’a que 20 ans quand, en 1958, elle renonce à Sissi et assume de se mettre toute l’Allemagne à dos pour rejoindre Alain Delon à Paris. On peine à imaginer le courage qu’il a fallu à la toute jeune femme pour affronter les siens et aller vivre avec un homme. nous contacter aide et contact contactez-nous par téléphone, courrier, email ou facebook. du lundi au vendredi de 09h00 à 18h00. Télécharger l'application France tv Romy Schneider and Alain Delon met, as is usually the case with actors, during the making of a film. It was an international co-production – “Christine” – directed by Pierre Gaspard-Huit . The meeting of the actors playing the main roles was carefully arranged – the couple met at the airport on April 10, 1958.« Bonjour, il paraît que vous cherchez à me joindre ? » Pas besoin de présentations : même fatiguée, la voix d’Alain Delon est assurée et reconnaissable entre mille au téléphone. Oui, on voulait vraiment parler au dernier monstre sacré du cinéma français. Et encore plus ce dimanche, exactement quarante ans après la mort de Romy Schneider, le 29 mai 1982. Les deux acteurs ont formé un couple mythique à la ville (entre 1958 et 1963) et pour toujours à l’écran. De Christine (1958) de Pierre Gaspard-Huit à L’Assassinat de Trotsky (1972) de Joseph Losey, en passant par les iconiques Plein Soleil (1960) de René Clément et La Piscine (1969) de Jacques Deray, ils ont tourné quatre fois Granier-Deferre devait les réunir en juillet 1982 pour le bien nommé L’Un contre l’autre. Le projet a été abandonné avec le décès de Romy. Alain Delon, lui, n’a plus tourné depuis sa savoureuse apparition en Jules César dans Astérix aux Jeux olympiques (2008). Affaibli par un AVC en août 2019 et marqué par les disparitions successives de ses femmes et amis, il se repose entre la Suisse et son manoir de Douchy (Loiret).Il y a quarante ans disparaissait Romy Schneider. Que vous reste-t-il d’elle ?Je n’arrive pas à croire que c’était il y a déjà quarante ans. Je pense à elle tous les jours. Elle est sûrement plus heureuse où elle est qu’elle l’était alors. Vous savez, sa mort ne m’a pas surpris. J’avais eu un pressentiment. Ce n’est pas que Romy voulait mourir, mais elle ne pouvait pas continuer à vivre depuis que son fils était disparu si tragiquement l’année d’avant [David, 14 ans, s’est tué en escaladant le mur d’enceinte de la maison familiale]. David était sacré pour elle. À partir de ce jour-là, j’ai senti qu’elle allait partir vite, qu’elle ne le supporterait n’avez pas assisté à ses obsèques. Pourquoi ?Je ne voulais pas être la cible des photographes, c’était du voyeurisme. Je suis allé me recueillir sur sa tombe quelques jours plus tard, pour être seul avec elle, sans personne. En revanche, je suis allé la veiller chez elle. Je lui ai écrit une lettre, que j’ai souvent lue depuis à la télévision. J’ai pris une photo d’elle morte sur son lit, que je garde dans mon portefeuille : Romy a l’air de dormir d’un sommeil profond, elle est magnifique. Je la regarde souvent…Vous vous souvenez de votre première rencontre, en 1957, pour tourner Christine ?J’étais allé la chercher à Orly avec des fleurs, comme me l’avaient demandé les producteurs du film. Elle a été surprise de voir un abruti souriant bêtement avec son bouquet. Elle a demandé qui j’étais à sa mère, qui lui a répondu : « Je crois que c’est ton partenaire, Alain Delon. » Ça s’est mieux passé le soir : on a dîné tous ensemble au Lido avec Jean-Claude Brialy, qui parlait allemand. Par la suite, Romy a très vite appris le quatre films ensemble, quel est votre tournage préféré ?Notre meilleur moment, cela a été en dehors des tournages, dans la vraie vie. On s’est beaucoup aimés, elle est venue s’installer chez moi et on a été très heureux. Des films qu’on a tournés ensemble, La Piscine [1969, de Jacques Deray] est le plus grand de tous. Je l’avais imposée alors que les producteurs voulaient plutôt d’autres actrices dont j’ai oublié les noms [Jeanne Moreau, Angie Dickinson ou Monica Vitti]. Je leur ai dit : vous me faites chier, ce sera Romy Schneider ou il n’y aura pas de film ! Elle était un peu en perte de vitesse à cette époque-là et ça me faisait de la peine car je trouvais qu’elle était parfaite pour le personnage. C’est pour ça que j’ai insisté. Elle y est formidable et magnifique. La Piscine a été un cap important pour Romy. Elle a pu faire des grands films ensuite avec Claude Sautet et d’ lui avez aussi permis de rencontrer Luchino Visconti…Oui, elle était passée sur le tournage de Rocco et ses frères [1960]. Luchino l’a ensuite fait jouer au théâtre avec moi à Paris [Dommage qu’elle soit une putain en 1961] puis dans des films [Boccace 70 et surtout Ludwig ou le Crépuscule des dieux]. Romy était une très grande actrice. Il y a une rétrospective en ce moment à la Cinémathèque à Paris . Je vais y aller avant qu’elle se termine, fin disait que vous avez été l’homme le plus important de sa vie…Elle n’en a pas eu énormément non plus, mais j’ai compté pour elle, oui. J’ai été son premier grand amour et elle a été mon premier grand amour aussi. On a vécu ensemble, on faisait le même métier. Quand on rentre chez soi, on est comme les autres, avec nos problèmes. Romy n’était pas quelqu’un de profondément heureux. Elle l’a été avec moi, même si elle a été malheureuse aussi… Elle faisait des efforts pour être Romy Schneider, celle que tout le monde attendait. Vous savez, ce n’est pas facile d’être acteur quand on est Romy."Mon rêve, en fait, ce serait de tourner Le Crépuscule d’un fauve, un beau sujet de Janne Fontaine"Quand on est Alain Delon aussi ?Moi, c’est différent. Je suis un homme et ce sont les femmes qui m’ont fait acteur en me poussant vers le cinéma alors que je n’avais aucune formation. J’ai connu une époque fabuleuse, quand j’étais Alain Delon et que je tournais comme un fou. J’étais heureux quand je faisais des films, j’adorais le cinéma. Je le suis moins depuis que je suis un ancien acteur. Je vis de mes souvenirs…Lors de notre dernière rencontre, en 2019, vous disiez vouloir tourner un dernier film sous la direction d’une femme, Lisa Azuelos ou Maïwenn. Un projet existe-t-il ?J’ai eu beau leur faire savoir que j’avais envie, aucune ne m’a proposé quelque chose, c’est dommage. Ce serait pourtant formidable de tourner avec une femme. J’ai reçu d’autres propositions, mais je n’ai pas répondu. Je suis contre le combat de trop comme on dit chez les boxeurs. Mon rêve, en fait, ce serait de tourner Le Crépuscule d’un fauve, un beau sujet de Janne Fontaine [une pièce écrite pour lui qui raconte les souvenirs d’un flic retraité après un accident]. Ça se serait un dernier juillet, le festival de La Rochelle va vous rendre hommage. Vous y serez ?Cet hommage me fait très plaisir, je suis énormément touché. Mais je ne suis pas certain d’aller à La Rochelle. Il y aura du monde, c’est risqué par rapport au Covid. Je ne suis quand même pas intouchable. C’est pour ça que je vais sûrement y envoyer ma fille [Anouchka].Des 21 de vos films qui seront projetés, de Christine (1958) à Nouvelle Vague (1990) de Godard, quel est votre préféré ?Il y en a beaucoup, d’époques différentes. Je pense que le plus beau et le plus important, c’est Plein Soleil [1960], mon premier avec René Clément. Mais il y a aussi Rocco et ses frères, Deux hommes dans la ville [1973], Monsieur Klein [1976], évoquiez la crainte du Covid. Comment avez-vous traversé la pandémie ?C’était terrible et effrayant. Même pendant la guerre, on n’avait pas connu ça. J’ai plein d’amis qui ont été touchés et s’en sont sortis, mais il ne fallait pas se voir, se toucher, se serrer la main, s’embrasser. Encore aujourd’hui il faut faire attention à tout."Je trouve que la vie est devenue insupportable, elle ne me fait plus beaucoup envie"Comment allez-vous depuis votre AVC, en 2019 ?Comme quelqu’un de 87 ans [il ne les aura qu’en novembre]. Physiquement, je me sens plutôt bien même si je suis fatigué et que je marche avec une canne. Mais on ne va pas se faire du cinéma : on sait où on va, comment ça finit. Tous mes amis sont partis, Jean-Paul [Belmondo] l’année dernière. Romy, Mireille [Darc], Nathalie [Delon], toutes les femmes de ma vie sont parties aussi. La seule qui reste, c’est Brigitte [Bardot]. Nous sommes très amis. On échange souvent, un peu comme deux vieux cons qui parlent de ce qu’ils ont connu et traversé ! On parle aussi du jour où on ne sera plus là. Je lui dis que j’espère qu’elle partira avant moi pour que je fasse un éloge dans l’église. Elle répond : j’espère que ce sera toi avant !À quoi ressemblent vos journées ?J’ai 55 hectares à Douchy, je profite de la nature, du calme, du repos. Je suis pratiquement seul avec mes animaux. J’ai quelqu’un avec moi, mais je ne reçois pas beaucoup de monde. Je lis la presse tous les jours. Ce qui se passe ne me réjouit pas, c’est un enchaînement d’informations sinistres. Tous les jours, il y a un scandale, un viol, une tuerie d’enfants. Ne me dites pas que le monde est heureux ! Je trouve que la vie est devenue insupportable, elle ne me fait plus beaucoup souhaitez toujours être enterré avec vos chiens à Douchy ?Non, ce sera trop compliqué, notamment par rapport à la loi. Je rejoindrai peut-être ma mère, enterrée à Bourg-la-Reine. Ou bien ailleurs. Je ne sais pas encore. Je veux surtout avoir la paix. Je n’ai pas peur de mourir. C’est normal, on y va tous. Mais j’ai peur de souffrir. Je ne veux pas finir dans un lit à l’ pensez-vous de l’euthanasie ?Je suis pour. En Suisse, c’est possible : on arrive avec ses amis, on fait un dernier discours, puis le médecin vous fait une piqûre devant vos amis et c’est fini en France a une femme au poste de Premier ministre, c’est important ?Élisabeth Borne est Première ministre, ce n’est pas une actrice ou une danseuse ! Elle m’a l’air d’être quelqu’un de compétent, lucide et efficace. J’espère que ça se passera gaulliste que vous êtes a soutenu Valérie Pécresse. Son échec vous a-t-il surpris ?Ça m’a surtout surpris et choqué pour elle. Valérie est une femme bien. Elle s’est donnée à fond, mais elle s’est peut-être perdue."Il était le fils d’Alain Delon, ce n’est pas facile"Qu’avez-vous pensé de l’autobiographie de votre fils Anthony, Entre chien et loup ?Il y a des choses bien, d’autres moins. Il a aujourd’hui presque 60 ans, un âge où il faut réfléchir comme un homme de cet âge plutôt que comme un gamin. Ce qui lui fait plaisir me fait beaucoup de mal. C’est dur pour un père. Mais ce sont ses souvenirs… C’est sans doute une façon de tuer le vous décrit comme violent mais il vous pardonne et parle beaucoup d’amour…Oui, bien sûr. Mais tous les enfants ne font pas ça. Je n’ai pas été épouvantable avec lui. J’ai été un père sérieux et strict, c’est tout. Mais il était le fils d’Alain Delon, ce n’est pas facile.
Purple Noon ( French: Plein soleil; Italian: Delitto in pieno sole; also known as Full Sun, Blazing Sun, Lust for Evil, and Talented Mr. Ripley) [2] is a 1960 crime thriller film starring Alain Delon in his first major film, along with Maurice Ronet (as Philippe Greenleaf) and Marie Laforêt (as Marge). Directed by René Clément, the French
Na ekranie zadebiutowała jako 15-latka. Sławę i status "skarbu narodowego Niemiec" dała jej rola cesarzowej Elżbiety Bawarskiej, zwanej Sissi Prywatne życie Romy Schneider dostarczało tematów prasie plotkarskiej. Szczególnie dużo uwagi tabloidy poświęciły jej romansowi z Alainem Delonem Z pierwszego małżeństwa (z reżyserem Harrym Meyenem) miała syna Davida; z drugiego (z Danielem Biasinim) – córkę Sarah Więcej takich historii znajdziesz na stronie głównej Onetu Na świat przyszła jako Rosemarie Magdalena Albach-Retty, ale cały świat poznał ją jako Romy Schneider. Jej rodzice (Magda Schneider, z pochodzenia Niemka, i Austriak Wolf Albach-Retty) oraz babka (Rosa Albach-Retty) byli aktorami. Przyszła gwiazda kina urodziła się 23 września 1938 r. w Wiedniu. Miała młodszego brata Wolfa-Dietera. Rodzeństwo wychowywało się u dziadków ze strony matki. Później w wywiadach Romy mówiła, że dla rodziców zawsze najważniejsza była ich kariera. Magda Schneider zdobyła popularność, występując w nazistowskich filmach, a Wolf Albach-Retty był członkiem nazistowskiej partii NSDAP i odnosił sukcesy w filmach muzycznych. Po rozwodzie rodziców (w 1945 r.) Rosemarie i Wolf-Dieter oficjalnie zostali z matką. Magda Schneider nie przejawiała jednak checi zaopiekowania się dziećmi, więc zajęła się nimi babka Rosa Albach-Retty. W lipcu 1949 r. Rosemarie została wysłana do szkoły z internatem, którą prowadziły siostry zakonne. Cztery lata spędzone w tej rygorystycznej placówce wspominała zawsze z goryczą. Ojciec nie odwiedził jej w ogóle, matka – cztery razy. W pamiętniku napisała: Romy Schneider: skarb narodowy Niemiec Magda Schneider, która ze względu na przeszłość miała problemy z otrzymywaniem ról, dostrzegła szansę na odrodzenie swojej kariery. Postanowiła zrobić z córki gwiazdę niemieckiego kina i przy okazji samej wrócić na ekrany. Dzięki jej staraniom 15-letnia Romy zadebiutowała w filmie "Kiedy znów zakwitną białe bzy". Rola okazała się sukcesem, posypały się propozycje. Utalentowaną nastolatką zainteresował się reżyser i scenarzysta Ernst Marischka. Najpierw Romy zagrała młodziutką królową Wiktorię w filmie "Victoria in Dover" (1954), a potem cesarzową Elżbietę Bawarską, nazywaną Sissi. Występ w bijącym rekordy popularności filmie kostiumowym u boku jednego z najbardziej pożądanych aktorów, Karlheinza Böhma, uczynił z 17-letniej Romy skarb narodowy Niemiec. Rolę powtórzyła w kolejnych częściach serii: "Sissi – młoda cesarzowa" (1956) i "Sissi – losy cesarzowej" (1957). Na udział w czwartej (planowano 10!) nie zgodziła się. Do zmiany decyzji nie przekonała jej nawet gaża w wysokości miliona marek. Nie chciała być kojarzona tylko z tą rolą, tymczasem do końca życia zmagała się z wizerunkiem słodkiej Sissi. "Trzy filmy o Sissi wyświetlano niedawno już trzykrotnie w telewizji. W czasie ostatniej projekcji mój syn David powiedział: »Mamo, nie gniewaj się, ale wolałbym oglądać western w innym programie«. Tylko Sarah pozostała przed ekranem. Te filmy przed laty się podobały. Ale ja nie mogę o nich mówić tak jak o każdym innym moim filmie. Muszę powtarzać: »Nie, nie jestem Sissi. Tę rolę grałam bardzo dawno temu«" – mówiła Romy Schneider w wywiadzie dla magazynu "Paris Match" w 1981 r. Polecamy: Romy Schneider: przekleństwo Sissi Romy Schneider: porzucona narzeczona W kwietniu 1958 r. Romy Schneider przyleciała do Francji. Miała zagrać w dramacie "Christine" – remake'u filmu "Miłostka" (1933), w którym wystąpiła Magda Schneider (Romy powtarzała rolę matki). Na paryskim lotnisku przywitał ją filmowy partner. Czekał z bukietem czerwonych róż, był początkującym francuskim aktorem, nazywał się... Alain Delon. Nie spodobał się jej. "Zbyt przystojny, zbyt ufryzowany, zbyt młody chłopak, ubrany jak dżentelmen, w koszuli i pod krawatem, i w zbyt modnym garniturze. Całość była jak dla mnie pozbawiona smaku, a chłopak – nieciekawy" – napisała w pamiętniku. Dla Delona była "blond gęsią w nijakim kostiumie". Musiało upłynąć trochę czasu, żeby zmienili o sobie zdanie. Potem często zadawali sobie pytanie, kto zakochał się pierwszy. Zawsze odpowiadali, że zrobili to jednocześnie. Kiedy ich romans wyszedł na jaw, Schneider musiała zmierzyć się nie tylko z niezadowoleniem matki i ojczyma Heinza Herberta Blatzheima, ale także falą krytyki w niemieckiej prasie, która uznała związek "skarbu narodowego" z "galijskim kogucikiem" za... zdradę ojczyzny. Resztę artykułu przeczytasz pod materiałem wideo: Miłość dała Romy siłę, żeby uciec spod opieki apodyktycznej matki i ojczyma, który – jak wyznała w wywiadzie w 1971 r. – ją molestował. Zakochani zamieszkali w Paryżu. "Alain nadał mojemu życiu zupełnie nowy wymiar, o którego istnieniu nie miałam dotąd pojęcia. Moją ojczyzną jest Francja: żyję po francusku, śpię i jem po francusku" – mówiła Schneider o swoim związku. "Kocham Romy, bo jest młoda. Kino nie odebrało jej świeżości. Romy to radość serca" – tłumaczył Delon, który wcześniej spotykał się tylko z kobietami starszymi od niego przynajmniej o 10 lat. Magda Schneider, która wciąż chciała kontrolować życie córki, wymusiła zaręczyny Romy i Alaina. Ceremonia odbyła się 22 marca 1959 r. w willi Maro nad jeziorem Lugano w Szwajcarii. Potem narzeczeni wielokrotnie żartowali, że zaręczynowe obrączki (ich z białego, czerwonego i żółtego złota) nosi się po to, by pokazać, że nie jest się po ślubie. Romy i Alain nigdy nie wypowiedzieli słów małżeńskiej przysięgi. Im szybciej rozwijały się ich kariery, tym bardziej oddalali się od siebie. Nie było też tajemnicą, że aktor zdradzał narzeczoną, która zawsze mu wybaczała i dawała kolejną szansę. W grudniu 1963 r. Delon zerwał zaręczyny, gdy Schneider kręciła film w Hollywood. Jak? Wersje są różne: w 15-stronicowym liście (komentarz Romy: "Alain nigdy nie napisał do mnie listu, pisaliśmy do siebie jedynie kartki"), w rozmowie telefonicznej (potwierdzona przez Delona). Pewne jest, że kiedy Romy wróciła do paryskiego mieszkania, znalazła bukiet róż, a pod nim kartkę: "Pojechałem z Nathalie do Meksyku. Wszystkiego dobrego, Alain". Faktem jest także, że próbowała popełnić samobójstwo. Przyjaciel, który ją odnalazł, znał dyskretnego lekarza, który zajął się Romy i zachował jej próbę samobójczą w tajemnicy. Rozstanie Schneider i Delona stało się medialną sensacją. Nawet "Der Spiegel" zamieścił na swoich łamach tę elektryzującą wiadomość. "Po czterech latach, ośmiu miesiącach i 24 dniach, po kilkukrotnie przesuwanym terminie ślubu, licznych odejściach i powrotach zakończyło się najbardziej burzliwe i najchętniej komentowane przez prasę narzeczeństwo tej połowy stulecia" – informował niemiecki tygodnik opinii. Zanim poślubiła ukochanego, musiała zapłacić za jego... rozwód W kwietniu 1965 r. na otwarciu Europa Center w Berlinie (w gmachu znajdowało się kilka restauracji Hansa Herberta Blatzheima) Romy Schneider poznała Harry'ego Meyena, starszego o 14 lat gwiazdora niemieckiego teatru. Połączyła ich miłość od pierwszego wejrzenia. Wkrótce tabloidy cytowały wypowiedź Romy, że "także w łóżku od razu się z Harrym zrozumieli". Wybuchł skandal, bo Meyen był mężem znanej berlińskiej aktorki Anneliese Römer. Przez następne miesiące romans Schneider stał się głównym tematem dla plotkarskich mediów. Publicznie upokorzona Römer wyceniła wolność Meyena na 200 tys. marek. Pieniądze dostała, ale nie od chorobliwie skąpego niewiernego małżonka, lecz od jego słynnej kochanki. W maju 1966 r. oficjalnie ogłoszono rozwód Meyena. Dwa miesiące później Romy poślubiła Harry'ego. Cywilna ceremonia odbyła się w Cap Ferrat (Francja), trwała cztery minuty, panna młoda była już wtedy w ciąży. Małżonkowie zamieszkali w Berlinie w dzielnicy Grunewald. Na początku grudnia na świat przyszedł ich syn David Christopher. Spokojne małżeńskie życie trwało przez prawie dwa lata. Potem zaczęły sie problemy. Meyen, zazdrosny o to, że jego żona była międzynarodową gwiazdą, wciąż ją upokarzał i dyskredytował jej zawodowe sukcesy. Romy coraz częściej sięgała po alkohol i leki, w wywiadach zwierzała się: "Potrzebuję mężczyzny silniejszego od siebie, potrzebuję kogoś, kto siłą rzuci mnie na kolana", a plotkarskie media informowały o jej romansach. Gdy 4 czerwca 1973 r. Schneider i Meyen podpisali umowy dotyczące podziału majątku, oficjalnie oświadczyli, że chociaż się rozstali, nie podjęli jeszcze decyzji o rozwodzie. Następnego dnia dziennik "Bild" ujawnił, że Romy uwolniła się od męża za cenę 1,4 mln marek. Harry korzystnie ulokował te pieniądze, przeznaczając je dla syna. Świat dowiedział się o tym w kwietniu 1979 r. po samobójczej śmierci Meyena, który powiesił się na drabince przeciwpożarowej obok balkonu swojego mieszkania w Hamburgu. Wierzyła, że wreszcie znalazła mężczyznę swojego życia W 1974 r. Romy Schneider poznała Daniela Biasiniego. Młodszy o 11 lat przystojny pracownik wytwórni filmowej został jej sekretarzem i otrzymał ograniczone pełnomocnictwo bankowe. Umiejętnie uzależnił od siebie aktorkę, która w rozmowach z przyjaciółmi przekonywała, że Biasini to mężczyzna jej życia. Zaślepiona miłością nie dostrzegła jego wykalkulowanej techniki uwodzenia. Powszechnie twierdzi się, że Schneider szukała w Meyenie ojca, a w Biasinim – Delona. Na początku lipca 1975 r. Romy uzyskała rozwód. Pięć miesięcy później w zimowym ogrodzie berlińskiego hotelu Gehrhus (tu rozpoczął się jej romans z Meyenem) Schneider poślubiła Biasiniego. Panna młoda znów była w ciąży. Weselne przyjęcie odbyło się w paryskiej restauracji L'Orangerie. Gdy małżonkowie wracali z podróży poślubnej, mieli wypadek. Romy, która nie zapięła pasów, uderzyła w przednią szybę beżowego bentleya, doznała lekkich urazów głowy i poroniła. Najlepszą terapią okazała się praca. Kiedy Schneider znów zaszła w ciążę, zwolniła tempo. Dostosowała się do rad lekarzy i robiła wszystko, żeby urodzić zdrowe dziecko. Wyjechała do St. Tropez, odpoczywała, unikała przyjęć i restauracji. Nie było przy niej Biasiniego, który został w Paryżu i spotykał się z innymi kobietami. 21 lipca 1977 r. Romy urodziła córkę Sarah Magdalenę. Dziewczynka była wcześniakiem, dwa miesiące spędziła w inkubatorze. Schneider, która przez rok po narodzinach córki nie przyjęła żadnej propozycji roli, musiała wrócić do pracy. Biasini – oficjalnie na utrzymaniu żony – kupował kolejne samochody, jadał w najdroższych restauracjach, nosił tylko markowe ubrania. Między małżonkami coraz częściej dochodziło do kłótni i bójek. Kiedy Romy zorientowała się, że Daniel ją okradał, wystąpiła o rozwód. Powolne umieranie Romy Schneider Na planie filmu "Widmo miłości" Romy Schneider poznała Laurenta Pétina, młodszego o 10 lat kierownika produkcji. Namówił ją na kurację odwykową; pomógł przetrwać rozwód z Biasinim, który nie tylko wyczyścił jej bankowe konto, ale również zażądał pieniędzy za prawo do opieki nad Sarah; opiekował się podczas rekonwalescencji po operacji usunięcia prawej nerki. 5 lipca 1981 r. wydarzyła się tragedia, po której – jak twierdzili znajomi aktorki – rozpoczęło się powolne umieranie Romy. Jej 14-letni syn David usiłował przejść przez ogrodzenie domu przyszywanych dziadków Biasinich w podparyskiej miejscowości Ostrze z kutego żelaza wbiło się chłopcu w podbrzusze. Krzyk Davida usłyszeli sąsiedzi. Wezwali karetkę pogotowia. Chłopiec zmarł na stole operacyjnym tuż przed północą. Fotografia martwego syna Romy Schneider pojawiła się na okładce "Bunte". Pogrzeb Davida zorganizował Alain Delon. Ochroniarze gwiazdora skutecznie chronili żałobników przed telewizyjnymi kamerami i aparatami fotograficznymi. Reporterom nie udało się zrobić zdjęcia pogrążonej w rozpaczy Romy. Przez następne miesiące Schneider usiłowała zagłuszyć cierpienie coraz większymi dawkami alkoholu, leków i papierosów. Sięgnęła po narkotyki. 10 maja 1982 r. sporządziła testament, w którym cały swój majątek zapisała Laurentowi Pétinowi i córce. Nie miała świadomości, że posiadała tylko meble, osobistą biżuterię i... długi. Piątkowy wieczór 28 maja Romy i Laurent spędzili na kolacji u jego brata Jerome'a. Do mieszkania przy Barbet-de-Jouy 11 wrócili około pierwszej w nocy. Laurent poszedł do sypialni, Romy została w salonie, żeby "pobyć z synem" (to był jej rytuał – słuchała muzyki i myślała o Davidzie) oraz napisać list odwołujący sesję zdjęciową do pewnego kobiecego czasopisma. O świcie Laurent wszedł do salonu i zobaczył Romy w fotelu. Wygladała, jakby spała. Gdy podszedł bliżej, przekonał się, że aktorka nie żyje. Przyczyna śmierci: ustanie akcji serca – efekt zażywanych od czterech lat tabletek nasennych, pobudzających i odchudzających. Tak ustalił lekarz. Media wiedziały lepiej, nagłówki krzyczały: Romy Schneider popełniła samobójstwo! Pogrzeb Romy Schneider odbył się 2 czerwca na cmentarzu Boissy-sans-Avoir. Ceremonię zorganizował Alain Delon. Źródła: Gunter Krenn – "Romy i Alain. Szalona miłość"; Johannes Thiele – "Miłości Romy Schneider"; Michael Jürgs – "Romy Schneider. Zawiedzione marzenia" Chcesz podzielić się ciekawym newsem lub zaproponować temat? Skontaktuj się z nami, pisząc maila na adres: plejada@ Dziękujemy, że przeczytałaś/eś nasz artykuł do końca. Jeśli chcesz być na bieżąco z życiem gwiazd, zapraszamy do naszego serwisu ponownie! Autorka tekstu: Agnieszka Święcicka, dziennikarka serwisu
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